Nous vous aidons à créer et entreprendre pour les humains, en intégrant les défis du climat, de la biodiversité, des ressources. Votre job, votre projet, votre entreprise ou votre territoire changent comme jamais. Vous voulez faire partie de l’aventure de la transformation écologique de l’économie ? Vous êtes au bon endroit.
La plateforme technologique Hemarina repose sur les particularités de l’hémoglobine purifiée des vers arénicoles, Arenicola marina. Sa structure est comparable à celle de l’hémoglobine humaine, toutefois elle se distingue par :
son caractère extra-cellulaire (elle n’est pas contenue dans un globule rouge), et donc universel (compatibilité avec tous les groupes sanguins)
sa capacité à lier 40 fois plus d’oxygène que l’hémoglobine humaine
sa taille particulièrement réduite : 250 fois plus petite que le globule rouge humain
Hemarina est un laboratoire biopharmaceutique spécialisé dans le développement de produits de santé issus de sa plateforme technologique propriétaire (M101) qui repose sur les propriétés de l’hémoglobine du ver marin arénicole. Spin-off du CNRS et de Sorbonne Université (Paris VI), Hemarina voit le jour en 2007 dans le Finistère Nord.
Convaincu du potentiel du biopolymère naturel issu de 450 millions d’années d’évolution comme option thérapeutique innovante permettant d’adresser des pathologies pour lesquelles il existe des besoins médicaux significatifs aujourd’hui encore non satisfaits, Franck Zal décide de créer sa société qui repose sur une quinzaine d’années de recherche fondamentale.
Innovation majeure par rapport à tous les autres HBOC (Hemoglobin-Based Oxygen Carrier) qui ont été développés jusqu’à aujourd’hui, la technologie Hemarina, unique au monde, repose sur la seule hémoglobine naturellement extracellulaire de haut poids moléculaire, fonctionnant sur une large plage de température (de 4°C à 37°C) et ne nécessitant aucun cofacteur pour libérer l’oxygène.
De plus, un des atouts essentiels de cette technologie est l’absence d’effet vasoconstricteur et hypertenseur tel qu’on peut l’observer avec les HBOC de première et seconde générations manufacturés à partir d’hémoglobine animale (bovine ou porcine) ou humaine.
Videos :
L’intervention de Franck Zal à Biomim’expo 2016 (première édition) :
RespectOcean, Le réseau des acteurs qui s’engagent pour un développement économique durable en faveur de l’océan.
RespectOcean est un réseau initié en 2013 par Raphaëla le Gouvello et alors rattaché à son association Odyssée du Vent.
Entre 2013 et 2016, avec des financements propres, le soutien de la Région Bretagne et de la Fondation Engie, Raphaëla le Gouvello a mobilisé près de 10 membres et partenaires, animé une dizaine de réunions régionales et internationales mettant ainsi en avant les actions des organisations du réseau, et faisant émerger des solutions innovantes pour l’économie bleue.
Après un portage administratif et financier par deux autres structures entre 2016 et 2018, Raphaëla le Gouvello crée avec quelques membres historiques du réseau, l’association RespectOcean en septembre 2018, afin de professionnaliser et développer le réseau existant et d’en faire une association reconnue d’acteurs économiques engagés pour la protection des océans.
Le réseau RespectOcean s’appuie sur les actions suivantes :
L’identification et la promotion des bonnes pratiques et innovations des membres de l’association,
La co-rédaction, révision et acceptation d’une charte commune d’engagement de tous ses membres,
Un accompagnement de ses membres dans leur cheminement vers un développement durable, par une mise en réseau, un échange, une pédagogie, une mutualisation des moyens,
Un site web pour concrétiser le réseau, le faire vivre et l’animer, le faire connaître, et l’ouvrir vers les autres parties prenantes du monde maritime : organismes publics de recherche, services de l’état, associations, personnalités…
Des actions de concertation, réunions, ateliers, autour des enjeux , et vers les autres acteurs.
Des interventions en conférence, des actions de communication, relayant la démarche engagée par RespectOcean et les actions concrètes des membres.
Un dialogue multi-acteurs en nouant des partenariats avec d’autres acteurs impliqués dans les actions de développement durable.
EDIXIA AUTOMATION est le spécialiste de la vision industrielle depuis plus de 35 ans. L’atout de notre entreprise est d’avoir travaillé dans le numérique avant tout le monde ! Aujourd’hui, nous proposons une vaste gamme de produits pour l’inspection de surface par vision. Notre quotidien est rythmé par l’innovation !
Polymaris Biotechnology est une société de biotechnologie créée en avril 2008 par Anthony Courtois et Bertrand Thollas, persuadés des richesses inexploitées de l’océan.
Polymaris a développé une expertise solide et unique dans la recherche, la caractérisation et la valorisation de biomolécules marines innovantes, en particulier des exopolysaccharides bactériens.
Ces biomolécules naturelles et biodégradables sont produites à partir d’une collection privée et originale de microorganismes prélevés dans l’immense biodiversité marine lors de nombreuses campagnes océanographiques.
La pluridisciplinarité est une force pour Polymaris car elle en fait une société unique répondant à des besoins personnalisés dans le développement et la commercialisation de biopolymères marins innovants.
Depuis octobre 2011, Polymaris est agréée au titre du Crédit d’Impôt Recherche auprès du Ministère chargé de la Recherche.
« Nous produisons des sucres et des plastiques biodégradables » , pointe Anthony Courtois, président de Polymaris, qui souligne que « la biodiversité marine est plus vaste que celle de l’écosystème terrestre » . Le dirigeant estime que l’entreprise a « généré une collection de microorganismes adaptée pour une future valorisation industrielle » . Et il y a de quoi faire : les marchés sont variés, de la cosmétique aux dispositifs médicaux en passant par les produits phytosanitaires. La startup, née dans les laboratoires brestois de l’Ifremer où ses co-fondateurs ont fait leur doctorat, assure ne pas avoir eu besoin de lever des fonds pour se financer car elle engrange « du chiffre d’affaires depuis le début de son activité ». Pour autant, les questions de financement propres au secteur résonnent aussi chez elle. « Nous pourrions avoir recours à des partenaires financiers pour externaliser certaines activités » , indique Anthony Courtois, d’après qui il « faut plus faire confiance aux petites structures ».
Nous proposons des solutions à terre et en mer pour protéger les océans de la pollution plastique. Rejoignez-nous et participez au changement !
Créée en 2016 par le navigateur et explorateur franco-suisse Yvan Bourgnon, l’ONG The SeaCleaners propose des solutions concrètes contre la pollution plastique, en mer comme à terre, à travers des missions correctives et préventives.
Membre Observateur de l’ONU Environnement et soutenu par la Fondation Albert II de Monaco et le réseau CCI France International, The SeaCleaners a quatre missions :
• La protection de l’environnement avec la collecte des déchets flottants et le ramassage de déchets à terre avec ses équipes de volontaires ;
• L’éducation et la pédagogie, avec le développement d’actions de sensibilisation auprès des populations impactées, du grand public et des décideurs ;
• La recherche scientifique ;
• La promotion de la transition vers l’économie circulaire.
The SeaCleaners développe notamment une solution pionnière de collecte et de valorisation des macrodéchets plastiques flottants : le Manta, un navire innovant équipé d’une usine à bord, qui sera mis à l’eau en 2024. Ce géant des mers sera le premier navire hauturier capable de collecter et traiter en masse les déchets océaniques flottants avant qu’ils ne se fragmentent et pénètrent durablement dans l’écosystème marin.
Véritable défi technologique, le Manta sera propulsé par une combinaison de plusieurs technologies de production d’énergies renouvelables permettant de minimiser son empreinte carbone.
Intervention de Yannick Lerat, Océanographe, Directeur scientifique de The SeaCleaners, à la Biomim’expo digital week de 2020
Intervention d’Yvan Bourgnon, navigateur, aventurier, écologiste ; président-fondateur de The SeaCleaners, à Biomim’expo 2019
Quel est l’enjeu de la pollution plastique ?
Toute réflexion sur notre avenir nous conduit à l’océan ! C’est là que la vie est apparue, que la survie de l’humanité est en jeu. C’est lui qui régule la température de la Terre, absorbe le CO2, restitue 50 % de l’oxygène que nous respirons, fournit en ressources vitales la moitié de la population mondiale.
Mais aujourd’hui, l’océan est menacé par nos excès. Sous nos yeux, il se réchauffe, se dépeuple, se « plastifie ». Chaque minute, 15 tonnes de déchets plastiques sont déversées dans les océans, l’équivalent du chargement d’un camion poubelle…soit 10 à 12 millions de tonnes chaque année. Si nous ne réagissons pas, ils contiendront en 2050 davantage de plastiques que de poissons.
C’est dire s’il y a urgence à agir, dès maintenant !
Chez The SeaCleaners, nous pensons que seule une action coordonnée, et les efforts conjoints de toutes les bonnes volontés permettront de répondre durablement à l’enjeu majeur de la pollution plastique.
En attendant que les combats à terre portent leurs fruits, nous sommes convaincus que la collecte en mer peut créer un cercle vertueux : elle permet de donner des résultats concrets, rapides, visibles, qui participent à leur tour à éveiller les consciences, à mobiliser les pouvoirs publics, les entreprises, les communautés, les citoyens.
Notre vision pour la préservation des océans est globale et d’envergure planétaire. Car sa force se mesure sur le long terme : elle consiste à intégrer des perspectives économiques, sociétales, humaines, pédagogiques et scientifiques selon une dynamique solidaire.
Nos mécènes
La liste complète des quarante+ entreprises qui nous soutiennent est disponible sur notre site internet
Un projet phare : le Manta
The SeaCleaners développe notamment une solution pionnière de collecte et de valorisation des macrodéchets plastiques flottants : le Manta, un navire innovant équipé d’une usine à bord, qui sera mis à l’eau en 2024. Ce géant des mers sera le premier navire hauturier capable de collecter et traiter en masse les déchets océaniques flottants avant qu’ils ne se fragmentent et pénètrent durablement dans l’écosystème marin.
Véritable défi technologique, le Manta sera propulsé par une combinaison de plusieurs technologies de production d’énergies renouvelables permettant de minimiser son empreinte carbone.
Fort de sa propulsion hybride, le Manta disposera de la mobilité nécessaire aux déplacements rapides vers les embouchures et les estuaires des fleuves, là où les nappes de déchets plastiques sont encore concentrées par les vents et les courants, et n’ont pas encore commencé ni à se désagréger, ni à entamer leurs dérives océaniques vers les « continents de plastique ».
Il pourra également intervenir rapidement partout dans le monde, suite à une catastrophe naturelle (ouragan, tsunami…) sur des zones de pollution dense, pour collecter les macrodéchets flottants avant qu’ils ne coulent au fond des mers.
Une unité de conversion énergétique des déchets sera installée à bord afin de transformer les déchets collectés en électricité et sera complétée par des solutions de valorisation et de traitement. En effet, certains déchets intègreront, à terre, des boucles d’économie circulaire. Des visites de ces installations seront d’ailleurs organisées pour que les acteurs politiques, industriels et économiques locaux découvrent ces solutions technologiques et puissent se les approprier afin de lutter contre leurs propres problèmes de pollution.
Pour améliorer les connaissances et renforcer la prévention contre la pollution, un laboratoire scientifique à bord permettra à l’équipe scientifique de géolocaliser, de quantifier et de caractériser les déchets lors des campagnes de collecte.
L’entreprise Reizhan accompagne la transition écologique et économique des territoires et des acteurs, en s’appuyant sur l’économie vivante.
« Recommençons à observer la Vie pour la comprendre, nous en inspirer, innover et nous intégrer dans son fonctionnement. Les principes sont constants depuis des milliards d’années : coopérer dans la diversité pour garantir la créativité, l’efficacité et la capacité d’adaptation. »