Claire LESIEUR

Claire Lesieur a obtenu son D.E.A à l’Université de Paris VI en biophysique moléculaire puis a soutenu sa thèse de Biochimie à l’Université de Genève en 1998.

Ses nombreuses expériences (Université de Bristol, CNRS – Institut de biologie structurale, Université nationale de Singapour) lui ont permis de développer de domaines d’expertise tels que la biophysique, la biologie computationnelle et les systèmes complexes.

Depuis 2006, elle est chargée de recherche au CNRS à l’Institut des Systèmes Complexes de Lyon (IXXI-ENS-Lyon) et au laboratoire AMPERE sur les thèmes de recherche suivants : data Science, performances des systèmes naturels, conception durable (robustesse, adaptabilité, correction d’erreurs).

Relectrice (articles, revues, livres, appel d’offre, thèse, master) et éditrice, Claire Lesieur a co-organisé 11 conférences internationales, et co-écrit plus de 30 publications sur des thématiques interdisciplinaires. Elle supervise également l’encadrement d’étudiants doctorants, masters, licences, IUT/BTS, école d’ingénieur.


Contributions à Biomim’expo 2021 :

Le 7 septembre dans le cadre de Biomim’expo à Marseille à l’occasion du congrès mondial de la nature :

Pourquoi dans biodiversité, ce qui est important c’est « diversité » : les leçons de résilience collective inspirées des protéines.

Le 9 novembre pour Biomim’expo à l’Hôtel de Ville de Paris :

Lorsque l’analyse des flux dans les cellules du vivant permet de modéliser l’optimisation des flux dans la ville en aménageant la géométrie spatiale des espaces de circulation : démonstration par calcul appliqué sur la ville de Lyon.


Conférences sélectionnées :

Publications sélectionnées:

  • Lorenza Pacini, Remy Cazabet, Laurent Vuillon and Claire Lesieur. Optimized Space Design: Natural Versus Urban Systems. Submitted to Applied Network Science, special issue : The Complexity and the City, Springer (April 2019).
  • Rodrigo Dorantes-Gilardi, Laetitia Bourgeat, Lorenza Pacini, Laurent Vuillon and Claire Lesieur. In proteins, the structural responses of a position to mutation rely on the Goldilocks principle: not too many links, not too few. (2018), Phys. Chem. Chem. Phys., 20, 25399-25410.

Son intervention à Biomim’expo 4 le 11 septembre 2019 :


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