POLYMARIS BIOTECHNOLOGY

Polymaris Biotechnology est une société de biotechnologie créée en avril 2008 par Anthony Courtois et Bertrand Thollas, persuadés des richesses inexploitées de l’océan.

Polymaris a développé une expertise solide et unique dans la recherche, la caractérisation et la valorisation de biomolécules marines innovantes, en particulier des exopolysaccharides bactériens.

Ces biomolécules naturelles et biodégradables sont produites à partir d’une collection privée et originale de microorganismes prélevés dans l’immense biodiversité marine lors de nombreuses campagnes océanographiques.

La pluridisciplinarité est une force pour Polymaris car elle en fait une société unique répondant à des besoins personnalisés dans le développement et la commercialisation de biopolymères marins innovants.

Depuis octobre 2011, Polymaris est agréée au titre du Crédit d’Impôt Recherche auprès du Ministère chargé de la Recherche.


La page-portrait dans le Biomim’BOOK 2021 :


Cité dans le dossier Maddyness : L’OceanTech, un domaine prometteur boudé par les investisseurs.

« Nous produisons des sucres et des plastiques biodégradables » , pointe Anthony Courtois, président de Polymaris, qui souligne que « la biodiversité marine est plus vaste que celle de l’écosystème terrestre » . Le dirigeant estime que l’entreprise a « généré une collection de microorganismes adaptée pour une future valorisation industrielle » . Et il y a de quoi faire : les marchés sont variés, de la cosmétique aux dispositifs médicaux en passant par les produits phytosanitaires. La startup, née dans les laboratoires brestois de l’Ifremer où ses co-fondateurs ont fait leur doctorat, assure ne pas avoir eu besoin de lever des fonds pour se financer car elle engrange « du chiffre d’affaires depuis le début de son activité ». Pour autant, les questions de financement propres au secteur résonnent aussi chez elle. « Nous pourrions avoir recours à des partenaires financiers pour externaliser certaines activités » , indique Anthony Courtois, d’après qui il « faut plus faire confiance aux petites structures ».


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